Incroyable !
Euphorbia obesa
Euphorbia obesa Balles de Baseball
(Plante a s’y méprendre qui ressemble à une balle de baseball.)
Plante solitaire sphérique à cylindrique avec l'âge,
de petite taille originaire d’Afrique du sud.
Les côtes sont plus ou moins marquées selon les individus.
Jeune, cette euphorbe a une forme très semblable
à celle du cactus Astrophytum asterias.
Les individus sont mâles ou femelles,
et chaque fruit ne contient que 3 graines.
La forme et la configuration est similaire à une balle de baseball
La maison Berryman Edwards
La Wilds-Edwards House
La Wilds-Edwards House
La Wilds-Edwards House est une résidence d'avant-guerre située dans la ville de Darlington, en Caroline du Sud. Elle est classée monument national.
La maison Wilds-Edwards a été construite vers 1856 par le colonel Samuel H. Wilds et conçue par l'architecte J.L. Klickner dans un style à l'italienne.
Selon la tradition locale, l'armée de Sherman (durant la marche) n'aurait pas détruit la maison des Wilds-Edwards, car le soldat Klickner se trouverait dans le détachement chargé de la brûler, et aurait persuadé le capitaine de la compagnie de retarder sa destruction. Dans l'intervalle, les troupes de l'Union ont rencontré la cavalerie du général Joseph Wheeler et n'ont pas pu retourner à Darlington .
Le roi Charles II d’Angleterre
Le roi Charles II d’Angleterre
Durant les 25 années de son règne, le roi Charles II d’Angleterre ne soigna jamais personne, mais traita 2 millions de ses sujets atteints d’une maladie glandulaire qui croyait-on était guérie par simple imposition de la main royale.
La sacralité du roi lui permit de recevoir un pouvoir unique détenu seulement par les monarques qui ont reçu l’onction, tels que les rois de France et d’Angleterre. Ce pouvoir, offert par Dieu à ses représentants sur Terre, permet au roi de guérir les écrouelles par l’imposition des mains. Les écrouelles étaient une maladie qui faisait apparaître des fistules purulentes sur les ganglions lymphatiques du cou des malades. Ce pouvoir de guérison permet de voir apparaître un nouveau rite lors du couronnement du roi d’Angleterre : « the king’s evil » ou touché des écrouelles.
Une fois la cérémonie terminée, le roi sort de l’abbaye de Westminster et se dirige vers les malades des écrouelles regroupés devant l’entrée du monument. Par un simple touché, les écrouelles sont censées être guéries. Cette pratique apparait au XIIème siècle en Angleterre et est reprise aux rois de France. Elle fait partie intégrante de la cérémonie du sacre jusqu’au règne de la reine Anne Stuart (1702-1714).